Le bruit, la fureur, les longs moments d'ennui et les brefs instants d'effroi…Des faits, des documents et des débats pour comprendre
vendredi 6 février 2015
Comme le berger répond à la bergère
Pour Wolfgang Schäuble, il doit renoncer à toutes ses promesses d’alléger l’austérité (notamment l’augmentation du salaire minimum et des petites pensions) et continuer à appliquer le mémorandum listant les réformes à accomplir. Il exige notamment que le programme de privatisation, suspendu par Athènes, reprenne, que la réforme des pensions soit poursuivie ou encore que la fonction publique soit amputée de 150.000 fonctionnaires supplémentaires (depuis 2010, leur nombre est passé de 900.000 à 656.000). De même, la Grèce devra continuer à dégager un surplus budgétaire primaire (hors intérêts de la dette) de 4,5 % du PIB, ce qui la prive de toute marge de manœuvre. Enfin, il n’est pas question que la Troïka disparaisse en dépit du refus d’Athènes de négocier avec des hauts fonctionnaires représentant la Commission européenne, la BCE et le FMI…
hOLLANDE a indiqué aujourd'hui que la décision de la Banque Centrale européenne (BCE) sur la dette grecque était «légitime». Cette décision place les États devant leurs responsabilités, en particulier le gouvernement grec qui doit rapidement préciser son programme de réformes, a déclaré François Hollande.
Quand à lui qui n'est pas le premier Tsipras venu,il poursuit les réformes exigées par cette Union européenne dont on voit mal par quel miracle elle pourrait un jour devenir sociale
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